Des doutes sur l’implication de Robert Wagner persistent depuis la découverte du corps de Natalie Wood, 43 ans, au large de l’île de Santa Catalina en Californie le 29 novembre 1981. Tous deux avaient passé la soirée sur un yacht en compagnie de l’acteur Christopher Walken et du capitaine du bâteau. La mort de l’actrice de West Side Story et de La Fièvre dans le Sangavait alors été classée comme noyade accidentelle. En 2012, son certificat de décès a été modifié. La cause de sa disparition s’est transformée en «mort par noyade et autres facteurs indéterminés». Quelques mois plus tôt, le département du shérif avait officiellement réouvert l’enquête, même si à l’époque les enquêteurs avaient déclaré ne pas considérer Wagner comme suspect. Dans une interview accordée à la chaîne CBS, le lieutenant John Corina a déclaré que les enquêteurs s’intéressaient désormais bien plus au cas de l’ancien mari de Wood. «Nous avons enquêté sur ce cas ces six dernières années et je crois maintenant qu’il est devenu une personne d’intérêt. Nous savons qu’il est la dernière personne à avoir été avec Natalie avant qu’elle ne disparaisse.» D’après le lieutenant, la déposition de Wagner a plusieurs fois changé au fil des ans, et «sa version des faits ne coïncide pas». «Nous savons que Robert Wagner est la dernière personne à avoir été avec Natalie avant qu’elle ne disparaisse.» Un rapport en 2012 révélait notamment que des bleus avaient été retrouvés sur les bras et poignets de l’actrice, ainsi que des éraflures sur son cou. Des marques qui pouvaient laisser penser qu’elle avait été blessée avant de tomber à l’eau. «Elle avait l’air d’avoir été victime d’une agression» a commenté l’enquêteur de l’affaire, Ralph Hernandez, également interrogé par CBS. Cependant, il reconnaît que la police n’a toujours pas assez d’informations pour prouver que Natalie Wood est décédée par accident ou bien à la suite d’un meurtre. «Notre principal problème, c’est qu’on ne sait pas comment elle s’est retrouvée dans l’eau» a-t-il rajouté. Depuis le début de l’affaire, Robert Wagner, aujourd’hui âgé de 87 ans, n’a cessé de clamer son innocence, même s’il a avoué dans son autobiographie se sentir coupable: «si j’avais été là, j’aurais pu agir».
Inhaler des parfums naturels
En inhalant des parfums naturels, comme la lavande ou le parfum de rose, ils affectent l’humeur et la santé d’une personne. L’aromathérapie est censée restaurer ou améliorer le bien-être mental, émotionnel et physique. Les principales branches de l’aromathérapie comprennent l’aromathérapie à domicile (auto-traitement, parfum et cosmétique), l’aromathérapie clinique et l’aromachologie (la psychologie des odeurs et leurs effets sur l’esprit). Bien que l’aromathérapie soit devenue de plus en plus populaire ces dernières années, elle fait en réalité partie d’une tradition qui a commencé il y a plus de deux mille ans. ont été utilisées. La pratique consistant à utiliser des huiles essentielles extraites de plantes, de fleurs, de racines et de graines devint finalement «Aromathérapie», un terme inventé par le chimiste français René Maurice Gattefosse dans les années 1920. L’aromathérapie fait référence à l’utilisation d’huiles essentielles extraites d’herbes, d’arbres et de plantes à des fins thérapeutiques. Tandis que beaucoup considèrent l’aromathérapie parmi les remèdes à la maison simples, c’est en fait une science spécifique et un art profondément complexe. En outre, de nombreuses sociétés peu scrupuleuses produisent actuellement des produits d ‘ »aromathérapie » utilisant des parfums de synthèse sans aucune réflexion (et parfois peu de connaissances) sur les pratiques de sécurité actuelles. Alors qu’il est sage de consulter les directives de sécurité avant d’utiliser tout produit d’aromathérapie, il existe également un besoin évident d’une éducation plus large dans ce domaine. Lorsque vous cherchez une formation en aromathérapie, il est important que les étudiants connaissent le contexte et l’expérience de l’enseignant. L’Association nationale pour l’aromathérapie holistique (NAHA) est une organisation éducative à but non lucratif dédiée au développement de normes élevées d’enseignement et de pratique de l’aromathérapie et est une bonne ressource pour les enseignants et les étudiants éthiques. NAHA a actuellement mis en place des lignes directrices suggérées pour la formation en aromathérapie et la certification dans le but de fournir des conseils pour les étudiants et les enseignants. Les huiles essentielles ne sont pas toutes identiques Les huiles essentielles sont l’essence pure d’une plante. Ils ont été trouvés pour fournir des avantages à la fois psychologiques et physiques lorsqu’ils sont utilisés correctement et en toute sécurité. Les huiles essentielles thérapeutiques sont des huiles essentielles non frelatées et très efficaces. Mais seulement 2% des huiles essentielles produites sont de qualité thérapeutique. Ils sont l’essence vitale d’une plante, et par conséquent la plus précieuse et la plus coûteuse à distiller. Pour sélectionner les huiles essentielles pour la santé et le bien-être, seules les huiles essentielles de qualité thérapeutique doivent être considérées. Les huiles essentielles biologiques et sauvages récoltées tendent également à être plus chères. Cependant, un mot d’avertissement est nécessaire. La plupart des produits chimiques présents naturellement dans les huiles essentielles sont fabriqués par l’industrie du parfum et sont utilisés pour adultérer les huiles essentielles. Retrouvez plus de renseignements sur l’organisateur de cette session pour créer son parfum à Paris.
Exploiter plus pour sauver la planète ?
Les engagements d’après tempête pour une gestion des forêts plus proche d’un fonctionnement naturel ont duré le temps de l’intérêt des médias. Même si, dans son bilan 10 ans après, l’ONF peut montrer des applications concrètes sur le terrain d’un changement de pratique de régénération, les certitudes anciennes ont vite repris le dessus et les bonnes intentions été oubliées. Dans les financements, on l’a vu, rien n’a changé en termes d’orientation et, de plus, ces derniers continuent de diminuer régulièrement, hors reconstitution après tempête (Terrasse, 2004). Le thème du déficit de la balance commerciale et de la sous-exploitation redevient rapidement prioritaire, dans la continuité des politiques menées depuis les années 1960. Avec une nouvelle approche cependant, qui consiste à considérer l’augmentation de l’exploitation comme justifiée pour des raisons environnementales. Ainsi, Juillot (2003), dans son rapport de mission parlementaire « La filière-bois française : la compétitivité, enjeu du développement durable » considère–t-il que la multifonctionalité est « le compromis […] entre des objectifs contradictoires » mais que « l’essentiel au présent siècle n’est plus là ». Il y a « une nouvelle priorité : l’effet de serre ». Selon Juillot, cette nouvelle priorité met de côté l’impératif de gestion durable, tel que discuté jusqu’à présent : « Il ne s’agit donc plus ici de chercher à concilier des objectifs contradictoires, mais de contribuer directement grâce à la production et à la transformation du bois à un objectif environnemental essentiel pour la société ». Il n’y aurait donc plus de contradiction potentielle entre l’exploitation du bois et la protection de l’environnement. L’effet de serre chasse la biodiversité. Les chapitres suivants de son rapport parlent de certification des forêts et de communication. Il est clair que, pour la mission parlementaire, la certification améliore ou améliorera « la gestion en liaison avec les réels enjeux environnementaux les plus sensibles ». L’enjeu n’est plus aujourd’hui d’essayer d’atteindre la gestion durable, mais d’exploiter davantage pour l’environnement. Toutes les autres recommandations du rapport sont sur le sujet de la mobilisation et de l’utilisation du bois, notamment pour l’énergie. Ainsi, seulement 3 ans après les tempêtes, la gestion durable n’est plus au centre des débats forestiers. Avec l’argument de l’importance du bois comme produit de substitution aux produits émettant des gaz à effet de serre, son exploitation redevient un enjeu national. La mise en oeuvre de la gestion durable est elle considéré comme acquise ? En 1986, Debazac signalait déjà que le « mot “aménagement” a tendance à être accepté comme synonyme de “bonne gestion” ». La loi d’orientation de 2001 exigeait un document de gestion pour les forêts de plus de 10 ha sous certaines conditions, et au passage remplaçait le terme traditionnel de « plan d’aménagement » en « garantie de gestion durable », sans en modifier de façon conséquente le contenu environnemental et social. Dès le rapport Bianco, en 1998, la certification des forêts, s’appuyant sur cette « garantie », était censée apporter l’assurance complète que l’équilibre entre les trois fonctions de la forêt est atteint. Ce glissement sémantique s’avèrera dangereux. Ainsi, le « Programme Forestier National » (Ministère de l’Agriculture et de la Pêche, 2006), pourtant issu des engagements de la France suite à la conférence de Rio en 1992, initie-t-il la délégation de la bonne gestion, voire même des plans de gestion eux-mêmes, à la seule certification : « Par souci de simplification, des synergies seront recherchées entre les documents de gestion durable existants et la certification ». Le Ministère de l’Agriculture, lors du Grenelle de l’Environnement en 2007, a ainsi proposé de déléguer le contrôle et la mise en oeuvre des plans de gestion aux systèmes de certification, mais ces derniers ont alors – fort heureusement – refusé d’inverser les rôles entre exigence légale et démarche volontaire. Le groupe de travail sur « l’insuffisante exploitation de la forêt française », coordonné par Ballu (2008), rend un rapport « pour mobiliser la ressource de la forêt française » qui exprime très clairement cette idée qui est désormais devenue la norme : « déstocker en s’appuyant plus sur la certification de la gestion durable ». Cette idée n’est pas sans rappeler les recommandations analysées plus haut du Rapport Bianco (Bianco, 1998) concernant l’aspect contractuel et volontaire de la prise en compte de l’environnement.
Y a-t-il deux pilotes dans l’avion ?
Y a-t-il deux pilotes dans l’avion ? La réponse est non, mais il y en avait un et demi, pourrait-on dire. Il y a quelques temps, je suis en effet allé à Bondues où j’ai effectué une initiation au pilotage d’avion. J’y ai pris les commandes d’un Robin DR400, un appareil si léger qu’il ballotte au moindre coup de vent et vous donne l’impression que votre estomac va vous ressortir par la bouche. Néanmoins, et malgré la nausée qui m’a pris un peu avant l’atterrissage, j’ai tellement apprécié cette sortie aérienne que je pense réitérer un jour. Et c’est assez drôle, avec le recul. J’étais persuadé que la partie pilotage allait être délicate. Mais en fait, il est possible de prendre les commandes d’un avion avant même d’avoir le permis voiture ! On peut voler dès l’âge de 15 ans, tellement c’est facile ! Eh oui, piloter un avion est carrément plus simple que d’apprendre à conduire. Les instruments de bord sont certes nombreux, mais en fait, la plupart sont inutiles (pour un débutant, j’entends ; ils doivent certainement servir à quelque chose). C’est d’autant plus facile qu’une fois qu’on est là-haut, on est seul dans le ciel, ce qui réduit considérablement les problèmes de priorités, de trafic et de risques d’accidents ! Bref, si vous n’avez jamais osé piloter à cause du tableau de bord qui ressemble à un sapin de Noël, vous pouvez vous lancer sans hésiter. Suite à cette sympathique initiation, pourtant, je me pose une question : pourquoi j’ai attendu si longtemps pour piloter, alors que je suis fasciné par tout ce qui vole d’aussi loin que je me souvienne ? Pourquoi a-t-il fallu que je le fasse en étant en visite chez des amis ? C’est que c’est loin d’être la première fois que je constate ça. Je ne sais pas si c’est comme ça pour tout le monde, mais pour ma part, c’est toujours quand je suis en goguette que je fais les choses les plus intéressantes. J’ignore ce qui me fait agir de cette manière. Peut-être parce quand je suis en voyage, j’oublie un peu le bien-être matériel et je privilégie les nouvelles expériences. Si ça vous intéresse, en tout cas, je vous mets en lien le site par lequel je suis passé pour mon initiation de pilotage d’avion. A lire sur le site internet de pilotage en avion à Bondues.
Cyberattaques : les risques médiatiques pour l’entreprise
L’utilisation des médias sociaux par les entreprises est un phénomène croissant. Les informations postées sur les réseaux sociaux ou dévoilées inopinément ou intentionnellement, génèrent des réclamations de plus en plus nombreuses. L’atteinte à la réputation de l’entreprise est une conséquence non négligeable d’une cyber-attaque, que ce soit vis-à-vis des clients finaux, des partenaires commerciaux, ou encore des investisseurs. C’est d’ailleurs une situation facilement compréhensible : qui aurait envie de faire affaire – et donc de confier son argent ou ses données personnelles – à une entreprise dont l’expérience tendrait à montrer qu’elle n’est pas en mesure d’en assurer la pleine et entière sécurité ? Peu importe à cet égard qu’il s’avère impossible d’assurer une sécurité absolue des données : il existera toujours un sentiment négatif à l’égard de l’entreprise victime d’un incident, qui sera automatiquement considérée comme responsable de la faille de sécurité de son système d’information. Par exemple, suite à l’attaque du PlayStation Network en 2011, la presse du monde entier a évoqué les “millions de victimes de Sony” et non les “millions d’abonnés de Sony victimes des cyber-pirates” – problématique qui sera plus cruciale encore lorsqu’entrera en vigueur la nouvelle réglementation européenne sur les données personnelles, qui obligera les entreprises à rendre publiques toutes les attaques dont elles feront l’objet. Or, l’explosion du Web 2.0 a rendu les e-commerçants plus vulnérables aux commentaires négatifs de leurs clients voire de leurs concurrents. Ils doivent donc désormais réagir très rapidement en cas d’atteinte à leur image, pour s’assurer le contrôle de leur e-réputation. En effet, un consommateur victime hésitera à retourner sur le site et le fera savoir sur des forums ou des réseaux sociaux, qui sont des médias extrêmement rapides et très utilisés de diffusion de l’information.
Une décision d’achat optimisée
Le monde de la technologie est un monde amusant et en constante évolution. Aujourd’hui, il y a littéralement des milliers de produits sur le marché. Nous sommes simplement essorés par le nombre de produits dont nous pouvons choisir. Et ce ne sont pas des gros articles de billets. Ils pourraient être simplement de petits petits gadgets comme un téléphone mobile, une imprimante portable ou un appareil photo numérique. Bien sûr, si vous avez le budget, un élément apparemment petit peut finir par vous coûter une petite fortune. Lorsque vous prenez une décision d’achat, vous devez être suffisamment exigeant pour trouver un équilibre entre le prix et vos besoins et vos désirs. Une façon d’atteindre cet équilibre, est de compter sur les nouvelles technologiques pour vous aider à prendre une meilleure décision. Comment les nouvelles technologiques peuvent vous aider. Visitez rapidement tout site Web sur les nouvelles technologiques. Il existe une multitude de sites technologiques sur Internet. Certains sont des sites Web bien établis (pense CNET) et d’autres sont gérés par de petits éditeurs. Les deux ont leurs mérites. Un grand éditeur libère habituellement des tonnes de nouvelles liées à la technologie sur toutes sortes de produits. Le problème est que, en raison de l’ampleur de la couverture, l’accent est habituellement dilué. Vous trouverez différents types de contenu: critiques, versions de produits, spécifications, etc. Certains de ces contenus sont rédigés par des rédacteurs en chef payants, de sorte qu’il existe un élément commercial impliqué. Peut-être que certains écrivains sont plus enclins à écrire des choses positives sur les produits? Peut être. Les éditeurs plus petits ont tendance à être plus concentrés, et ils diffusent généralement des nouvelles uniquement sur les produits sélectionnés à la main. Étant petit, ils ne peuvent pas couvrir tout sous le soleil. C’est donc une stratégie judicieuse à adopter. Souvent, vous trouvez des articles beaucoup plus en profondeur. Les propriétaires sont également plus susceptibles d’être très passionnés par les produits techniques qu’ils écrivent. Lorsque vous achetez un gadget tech, vous payez habituellement davantage pour les nouvelles technologies. L’important ici est de se rappeler que tout ce qui est nouveau vient avec un prix beaucoup plus important. La technologie peut ne pas être nécessairement meilleure (par exemple buggy depuis sa nouvelle), mais vous finissez toujours par payer beaucoup plus pour le produit de toute façon. Si vous voulez économiser de l’argent, soyez patient. Continuez à parcourir les nouvelles techniques pour vous tenir au courant des changements. Par exemple, comment la technologie s’améliore-t-elle? Quels sont les autres sur le nouveau gadget? Si vous ne lisez que des commentaires géniaux sur le produit, c’est un bon signe. Vous devrez peut-être supprimer votre propre désir, de sorte que vous ne devenez pas le premier en ligne pour acheter ce nouveau caméscope, une nouvelle télévision ou un nouveau téléphone mobile. Attendez un peu. Le prix va bientôt baisser dès que les masses commencent à adopter la nouvelle technologie. De cette façon, vous obtenez un appareil plus stable, à un prix beaucoup plus bas. Davantage d’information est disponible sur le site de l’Agence SEO 59. Suivez le lien.
Lutter pour le développement
Les 25 Administrateurs du Conseil permanent, représentant les 189 pays membres de la Banque mondiale, sont responsables de la conduite des opérations générales de la Banque mondiale, fonction qu’ils exercent en vertu des pouvoirs qui leur sont délégués par le Conseil des Gouverneurs. La Banque mondiale se compose de la Banque internationale pour la reconstruction et le développement (BIRD) et de l’Association internationale de développement (IDA). Les Administrateurs choisissent le Président du Conseil. La durée du mandat du Conseil actuel va de novembre 2014 à octobre 2016. Les Administrateurs ont pour mission importante de guider les opérations générales et de définir l’orientation stratégique de l’ensemble du Groupe de la Banque mondiale, représentant les points de vue des pays membres sur le rôle de la Banque. Ils examinent et statuent sur les projets de prêts, de crédits, de dons et de garanties de la BIRD et de l’IDA proposés par le Président, ainsi que sur les nouvelles politiques, le budget administratif et d’autres questions opérationnelles et financières. Ils examinent également les Cadres de partenariat-pays — principal outil utilisé par la direction et le Conseil pour étudier et guider la collaboration du Groupe de la Banque avec les pays clients et l’appui apporté aux programmes de développement. En outre, les Administrateurs sont chargés de présenter au Conseil des Gouverneurs les comptes vérifiés, un budget administratif et le Rapport annuel de la Banque mondiale sur les résultats de l’exercice écoulé. Le Conseil compte cinq comités permanents : le Comité d’audit, le Comité du budget, le Comité pour l’efficacité du développement, le Comité des questions administratives concernant la gouvernance et les Administrateurs, et le Comité des ressources humaines. Les Administrateurs siègent à un ou plusieurs de ces comités, qui aident le Conseil à s’acquitter de sa mission de supervision en procédant à un examen attentif des politiques et des pratiques de l’institution. Le Comité directeur des Administrateurs se réunit deux fois par mois pour examiner le programme de travail stratégique du Conseil. Les Administrateurs se rendent périodiquement dans les pays membres pour apprécier par eux-mêmes les difficultés économiques et sociales des pays, observer le déroulement des projets financés par la BIRD et l’IDA, et discuter avec les responsables gouvernementaux de la manière dont ceux-ci évaluent la collaboration avec le Groupe de la Banque.
Un plan pour les étudiants
Le Premier ministre Edouard Philippe a promis jeudi un « plan étudiants » qui comportera un volet « réussite étudiante » et un « volet pouvoir d’achat ». La ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, Frédérique Vidal, est « en train » de préparer ce plan avec les organisations syndicales et les universités, a-t-il dit sur RMC et BFMTV. « Elle rencontre dès le début de la semaine prochaine un certain nombre d’organisations. Donc on va avancer sur ce plan très vite parce que c’est essentiel de pouvoir sortir de ce plan une meilleure orientation », a-t-il souligné. Pour réduire le fort taux d’échec des étudiants qui rentrent dans le système de la licence générale -seuls 40% bouclent leur licence, un cycle de trois ans, en trois ou quatre années-, les acteurs de l’éducation ont entamé en juillet une vaste concertation sur l’entrée à l’université. Autre objectif de cette concertation, qui doit durer jusqu’à fin octobre: mettre fin au tirage au sort dans les filières non sélectives où les demandes d’inscription en première année dépassent les capacités d’accueil. « Il s’agit de mieux éclairer les étudiants » pour « qu’ils puissent réussir », selon M. Philippe. « On va expliquer à un étudiant que s’il veut rejoindre telle formation, il faut qu’il ait un certain nombre de compétences pré-requises », a-t-il détaillé. Pour les syndicats étudiants, ces pré-requis peuvent toutefois masquer une sélection déguisée. Le Premier ministre n’a pas détaillé le volet « pouvoir d’achat » de ce plan étudiants. Il a jugé que la baisse de 5 euros des APL (aides personnalisées au logement) n’était « évidemment » pas une mesure « intelligente », mais a attribué cette décision au précédent gouvernement, jugeant qu’elle était « contenue dans le budget précédent ».
Le temps des fake news
Il y a quelques temps, j’ai suivi un séminaire à Colmar où j’ai eu l’occasion de discuter d’un problème que je trouve de plus en plus préoccupant dans notre société : celui des fake news. Car celles-ci sont bien plus dangereuses que tout ce qu’on peut imaginer. Si elles sont longtemps restées cantonnées dans la frange du web, elles se sont depuis peu répandues à tous les étages de la société. Elles ont aujourd’hui pignon sur rue et peuvent faire basculer les élections d’une grande puissance en faveur d’un milliardaire populiste. Ce problème a d’ailleurs été identifié par les géants du web tels que Facebook, qui a décidé de vérifier l’exactitude des informations relayées sur sa plateforme avec le concours de rédactions partenaires. Le 29 juin 2017, ce fléau a franchi une nouvelle étape. Un représentant de la NASA a dû démentir la rumeur selon laquelle il existerait des enfants esclaves sur la planète Mars. Une fake news popularisée par une émission du site complotiste américain, InfoWars. Ce média web est connu pour raconter absolument n’importe quoi. Son présentateur phare, Alex Jones, est d’ailleurs le docteur ès fake news. Il a par exemple invité Trump lors des primaires américaines et est depuis l’un de ses fans inconditionnels. Cette émission a donc accueilli un certain Robert David Steel qui affirmait l’existence d’une colonie martienne peuplée d’enfants kidnappés et envoyés dans l’espace il y a une vingtaine d’années. Il y a encore quelques années, une rumeur comme celle-là aurait juste prêté à sourire. Mais il faut croire que les temps ont sérieusement changé : la NASA a décidé de répondre à ces accusations, et rappeler que seuls des rovers vivent actuellement sur Mars… Cela dit, cela pourrait changer sous peu. La société SpaceX espère y envoyer les premiers colons à partir de 2023. Mais il est peu probable que ce soit des enfants…Sinon, j’ai beaucoup apprécié ce séminaire à Colmar. Vous pouvez trouver quelques photos de l’événement sur ce site, si ça vous intéresse. Pour en savoir plus, je vous recommande la lecture du blog sur l’organisation de séminaire en Alsace qui est très bien élaboré sur ce sujet.
Couture : un peu d’audace
Vendredi 23 juin, entre adoucissement des températures, barouf autour de la candidature de Paris aux Jeux olympiques de 2024 et embouteillages de toutes sortes, la fashion week masculine s’est étirée au rythme d’un joyeux bazar. Les défilés ont défendu des visions dynamiques et sensibles d’un vestiaire masculin qui n’est plus condamné à l’unique fonctionnalité. Et ce qui distingue Paris des autres capitales de la mode, c’est justement cette diversité des possibles. Quand Londres est en force sur le créneau jeune et excentrique et Milan sur celui d’un style plus normé et sérieux, à Paris, il y en a pour tous les goûts. Ce champ d’expression libre est idéal pour la géniale Rei Kawakubo avec sa ligne Comme des Garçons Homme Plus. Les jeunes mannequins qui déboulent sur la scène inondée de lumières disco ont mis leurs vestes à l’envers, pour une collection dont le thème est « ce qui compte c’est l’intérieur ». Dans ce charmant désordre, tout fonctionne : shorts à paillettes, tee-shirts imprimés, longues chemises rayées, mosaïques de tartan, de peluches panthère, sculptures en « morceaux » de poupée de l’artiste Mona Luison incrustées dans des vestes (à l’endroit, celles-ci), gilets à broderies indiennes posées sur des vestes de banquiers… C’est farfelu et réjouissant, toutes les silhouettes font envie, de manière presque contre-intuitive tant chacune d’entre elles va puiser loin des codes de la mode masculine. Chaque pièce fait sens et porte en elle une poésie bizarre. La collection célèbre l’imagination, l’envie d’oser, de s’amuser, de s’exprimer autrement avec les vêtements sans passer pour un dingue. Et sinon, tant pis. Dans un monde qui se corsète toujours davantage, cette liberté est plus indispensable que jamais. Mais à part l’énigmatique Japonaise, qui est capable, en l’absence de Martin Margiela, de concilier ainsi concept et vrais vêtements ? Le compatriote de Rei Kawakubo, Junya Watanabe, cultive une fausse banalité et donne une leçon de style sur le vêtement de travail. Pour l’exercice, il s’est assuré la collaboration de spécialistes du genre : Carhartt, le tailleur anglais Turnbull & Asser pour les chemises, ou encore Karrimor (marque britannique spécialisée dans les tentes et autres matériels de camping) dont deux sacs disséqués s’incrustent comme des carapaces sur des manteaux. Délavages, coupes strictes et millimétrées, multiplications de poches, combinaisons de toiles classiques et techniques donnent à ce vestiaire de « basiques » une élégance contemporaine et pratique à la fois. Au premier coup d’œil, on sent un supplément d’âme derrière l’apparente simplicité, une impression renforcée par un casting d’hommes de différents âges, origines et gabarits. L’ambiance est plus solaire chez Loewe. Les images qui accompagnent la collection ont été réalisées à Cadaqués, dans la maison de Salvador Dali et le vestiaire imaginé par Jonathan Anderson baigne dans une atmosphère « bord de mer » et « jeunesse libre ». La collection explore pourtant avec nuance plus d’une facette de la masculinité : shorts et mocassins brodés, porte-clés en cuir en forme de coquillages et crustacés pour les plus modes, sacs marins rayés et mailles à motif ancre, magnifiques chemises amples en lin rayé, en cuir couleur fauve ou en jersey bord côte pour des goûts plus classiques. Une veste-blouson en twill lilas ou un trench en gabardine peau de pêche décoré de patchs complètent cet ensemble plein de trouvailles et de textures, susceptible de provoquer, peut-être, des envies insoupçonnées.