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Les hommes et la pandémie

Combien y a-t-il de micro-organismes pathogènes sur Terre? Un certain nombre… un nombre gigantesque!
Un programme nord-américain, financé par l’US-AID (équivalent de notre Agence française de développement), intitulé PREDICT et soutenu à hauteur de 65 millions de dollars, a choisi de déterminer les espèces de virus reconnues chez les chauves-souris. Pourquoi ces mammifères? Tout simplement parce qu’ils constituaient le groupe taxonomique comprenant le plus d’espèces, relativement bien connues, et que ce groupe a déjà été identifié comme porteur de nombreux virus très pathogènes pour l’humain.
Ce programme a ainsi permis d’identifier près de 380 nouveaux virus portés par ces animaux. À partir de là, les chercheurs ont effectué des calculs statistiques pour extrapoler le nombre de virus qu’il reste à découvrir chez les espèces de mammifères terrestres.
Ce nombre est estimé entre 360 ​​000 et 460 000 nouvelles espèces de virus à découvrir. Vertigineux…
Des milliards de micro-organismes régulateurs
Les travaux menés par le programme PREDICT n’indiquent cependant pas le pouvoir pathogène de certains de ces virus pour l’être humaine; et ils n’ont d’ailleurs pas caractérisé le virus du Covid-19, responsable de la pandémie actuelle essentiellement par ce que c’est une forme recombinante et donc imprévisible par nature. Cette recherche n’a pas non plus identifié les très nombreuses espèces de bactéries, champignons parasites, helminthes ou encore protozoaires que les chauves-souris abritent. On comprend bien que le nombre de micro-organismes hébergés par ces animaux est incommensurable.
La diversité biologique en micro-organismes sur Terre est une fonction puissance du nombre d’espèces animales, c’est-à-dire qu’il faudrait multiplier ce nombre par lui-même plusieurs dizaines ou plusieurs fois pour obtenir le nombre de micro -organismes totaux. C’est très certainement de plusieurs facteurs exposants qu’il faudrait estimer cette diversité en micro-organismes, en fonction du nombre d’espèces animales sur Terre. Et il faut faire en prenant en compte ce qu’abritent naturellement les eaux continentales et côtières, les sols, les plantes, les systèmes racinaires de plantes…
La vie que nous voyons s’organise autour d’une diversité invisible (biodiversité sombre) constituée de micro-organismes qui assurent les fonctions essentielles dans les écosystèmes. Sans eux, ces derniers s’écroulent ou sont moins résilients aux aléas et aux crises environnementales et anthropiques. Les idées qui se diffusent aujourd’hui dans le domaine médical, concernant le microbiome intestinal de l’être humain et sa diversité bactérienne comme garante d’une meilleure santé des individus, constituant des applications directes de ce que nous enseignent les écologues travaillant sur des systèmes plus complexes depuis maintenant plus de 40 ans.
Faut-il dès lors explorer et décrire cette diversité microbienne afin d’identifier les possibles agents de futurs épidémies? Nous le décririons, en ayant les moyens humains et financiers pour le faire, que des crises sanitaires se déclencheraient de manière insidieuse, avant même que ce travail titanesque ait pu faire un premier tour de toutes ces descriptions!
Puisque la vie que nous observons s’organiser et se régulariser grâce à ces myriades de micro-organismes, quelle est la part de responsabilité des activités humaines dans les dérèglements actuels? Aurions-nous entrouvert le couvercle de la boîte de Pandore, aurait un flux plus conséquent de micro-organismes s’échappant, avec des conséquences potentiellement désastreuses?
La réponse est affirmative. Par nos pratiques et, plus généralement, nos organisations sociétales, nous interagissons aujourd’hui plus fortement avec les écosystèmes naturels et leur biodiversité. La déforestation en hausse dans les zones inter-tropicales – au Brésil, en Indonésie et en Afrique centrale -, mais aussi la recherche de nouvelles terres pour le développement de l’agriculture et l’installation des populations, sont autant de facteurs qui nous exposent à de nouveaux microbes et nous faisons interférer avec des cycles naturels de micro-organismes, animaux en particulier.
Sur des cycles qualificatifs «enzootiques» ou «sylvatiques», voiture un nombre important d’entre eux se déroule dans les écosystèmes forestiers, en particulier tropicaux. Ces activités humaines qui ont cours de manière massive dans de très nombreuses régions du monde, «réveillent» en quelque sorte des cycles microbiens naturels, déjà peu ou jamais exposés aux humains.
L’accroissement de la taille des villes, notamment dans les régions intertropicales (plus de 20 villes aujourd’hui avec des populations de 8 millions d’habitants et plus), expose les populations à des dangers microbiologiques nouveaux, plus importants et plus fréquents. Cela est d’autant plus possible que ces mêmes villes se concentrent sur leurs marges des populations démunies, parmi les plus pauvres de la planète.
Bangkok, la capitale thaïlandaise, s’est développée rapidement au-delà de ses limites initiales. @ IRD / Jean ‑ Pierre Montoroi, CC BY-NC-ND
En dehors de ces métropoles (Bangkok, Manaus, Lagos, par exemple), des élevages très nombreux et variés (canard, poulet, porc) se sont développés et coexistent dans les zones périurbaines; ils facilitent le transfert de microbes des uns aux autres, mais relient aussi la faune sauvage à cette faune domestiquée et aux réceptacles qui peuvent constituer les populations humaines.
C’est ici même que se voit les nouvelles infections humaines.
Cette réalité dépasse la fiction: elle nous rappelle notre existence d’humains vulnérables, aussi arrogants que crédules. Les agents pathogènes des hommes ne sont pas apparus le 7e jour de la création… ils émergent au gré de nos activités et de nos pratiques par circonstance, par opportunisme. Jamais par nécessité propre.
Des pressions humaines s’accumulent
Imaginons deux mondes: celui du dessus (Upper World), visible par chacun d’entre-nous et incluant toute la biosphère, dont les humains; et le monde du dessous (Under World), invisible à nos yeux, constitué des millions, des milliards, de micro-organismes, ceux évoqués précédemment. Ces deux mondes ont toujours coexisté, ils s’interpénètrent. Le premier compartiment de l’Upper World n’existerait pas sans celui caché de l’Under World. Cette métaphore nous rappelle évidemment de nombreux films de science-fiction.
Mais cette image est également très proche de certains textes de la mystique et de la mythologie juives, autour de la création du golem, cet être artificiel à apparence humaine, fait d’argile, et créé pour assister et défendre son créateur. Né de la terre glaise, apparaissant très tôt dans la littérature talmudique puis dans certains contes chrétiens, il est dit dans le Talmud que Dieu, en ayant Adam, le fit d’abord golem en l’extrayant de la terre. Le golem sera par la suite rappelé à la «poussière» dont il était né.
Une image extraite du film Golem (1921) de Paul Wegener. Imdb
Il existe dans l’histoire humaine, passée et récente, nombre d’analogies avec ces mondes supérieurs et inférieurs.
En défrichant la terre pour y semer les premières graines et en chassant les grands mammifères sauvages pour constituer leurs premiers troupeaux, les civilisations humaines du Néolithique ont été parmi les premières à interagir de manière importante avec l’Under World.
À la fin du Néolithique, en Mésopotamie, sur l’estime de la population humaine de plusieurs centaines de milliers d’habitants à 3 millions, mais peu plus. En France, à cette même période, sur y rencontre 500 000 habitants au maximum.
Des siècles plus tard, au 1er janvier 2019 plus précisément, nous étions 7,7 milliards d’humains sur Terre. Le nombre d’animaux d’élevage, et plus singulièrement de vaches, constitue aujourd’hui 20% de la biomasse animale de la planète. Les élevages occupent 30% des zones occupées précédemment par la biodiversité et mises en œuvre aujourd’hui en péril près de 40% des espaces naturels protégés
En 2016, selon les statistiques fournies par les Nations unies, les surfaces agricoles couvraient 37,4% des terres émergées pour atteindre un pic dans les années 1991 avec 39,1% de couverture. Depuis 1992, le pourcentage de surface agricole mondiale se stabilise autour de 37%. Si l’espace ne manque cependant pas encore sur Terre, 55,3% de la population terrestre se concentre dans les villes en 2018 avec 46% de cette population mondiale présente en Asie orientale et du Sud-Est.
Les terres soustraites aux écosystèmes naturels et à l’agriculture par l’urbanisation et la périurbanisation sont souvent parmi les plus fertiles. Si on dispose de peu de statistiques mondiales à ce propos, sur l’estime que l’équivalent d’un département français est artificiel tous les 5 à 6 ans; ainsi près de 10% de la surface agricole utile disparaîtra d’ici 2060.
Au travers de ces statistiques générales, on comprend bien en quoi les activités humaines interfèrent massivement, et de manière toujours plus fréquente, avec l’Under World. Par leurs impacts sur les écosystèmes et leur diversité biologique, les êtres humains permettent un flux de communications, plus intensif et continu, vers l’Upper World de myriades de micro-organismes dont certains se révèlent être ce que l’on appelle des «agents infectieux émergents »pour l’humain. Les animaux, sauvages et domestiques, ainsi que les plantes, naturelles et cultivées, subissent ce même type de phénomène à l’heure actuelle.
Seul un retour à la terre, dont le golem est issu, pourra refermer la porte entre les deux mondes. Tenter de supprimer le monde invisible conduirait inévitablement à la disparition de celui qui nous abrite et nous soutient. Vouloir supprimer les chauves-souris au prétexte qu’elles portent dans les actuels et futurs germes pathogènes pour l’être humain est donc totalement stupide…
Nous préparons aux pandémies futures
Conjonctions épidémiques, conjonctions de crises environnementales, climatiques, mais aussi sociales, philosophiques, politiques, financières, économiques… Qui aurait parié il y a quelques semaines encore que la pandémie de Covid-19 ébranlerait à ce point la planète? Nous nous posons tous énormément de questions concernant ces crises et leur nature.
Des premiers foyers, à Wuhan (Chine), du Covid-19 à sa dispersion épidémique puis son extension pandémique, tout cela nous rappelle ces idées développées par Lorenz dans les années 1960, et son fils désormais célèbre «effet papillon» selon lequel les battements d ‘ailes de cet insecte à une extrémité de la planète peuvent influer sur le climat d’une région située aux antipodes.
Selon la «théorie des catastrophes», dans laquelle s’inscrit ce battement d’ailes de papillon, les systèmes de transmission infectieuse répondent bien aux lois simples des systèmes chaotiques. Bien que le comportement chaotique d’épidémies infectieuses paraisse souvent aléatoire et imprévisible, il obéit aux principes mathématiques assez simples qu’il sera possible d’identifier dans quelques semaines.
Effet papillon et théorie du chaos. (Sciences étonnantes / Youtube, 2018).
Avec la mondialisation des échanges, leur extension, leur fréquence, nos sociétés dépendantes curieusement de ces quelques ondulations du papillon à l’autre bout du monde. Le papillon, dans les circonstances actuelles, s’incarnant en chauve-souris ou en pangolin, dont la baisse tragique des effectifs naturels et le marché asiatique ont organisé les conditions d’une infection de grande ampleur.
Le sort de nos sociétés n’est plus contingenté par des règles régionales ou nationales, mais bien par des organisations et des désorganisations extérieures et lointaines.
Au sortir de cette crise sanitaire, les citoyens, les décideurs publics, les gouvernements nationaux et les institutions internationales promouvoir une nouvelle organisation mondiale, plus respectueuse des engagements de l’Agenda 2030 des Nations unies Pour faire émerger une nouvelle forme de résilience internationale face à ces nouveaux dangers.
La recherche scientifique et la médecine doivent également s’adapter en promouvant la transdisciplinarité et la remise en cause des connaissances et des savoirs, établies et transmises le plus souvent comme autant de dogmes.
Quelques années en arrière, les enseignements de biologie et de médecine infectiologique se concentrent sur les barrières d’espèces comme obstacles au franchissement des infections. Aujourd’hui, les plus fortes promiscuités entre animaux sauvages, d’élevages, l’extension de l’agriculture et l’urbanisation massive conduisent à réinterpréter les transferts de germes microbiens, rendus plus faciles, plus volumineux et plus fréquents, entre plantes, animaux et humains.

L’effet réel des #

Que vous soyez un conservateur ou peut-être un libéral, vous avez probablement rencontré un hashtag politique dans un post, un tweet ou un scénario personnel partagé sur Facebook. Un hashtag est en fait une étiquette pratique, des moteurs de recherche populaires et des services professionnels de médias sociaux qui permettent aux gens de rechercher du contenu contenu sous le terme ou la phrase, accompagné de l’indication #. D’abord popularisé par les Tweets en 2009, l’utilisation des hashtags se généralise. Presque tout ce qui est politique et qui vise à attirer un large public est désormais un nom de marque doté d’un hashtag attrayant. Prenons par exemple les campagnes électorales politiques (#MAGA), les actions sociables (#FreeHongKong) ou les appels à l’aide ou aux lois et réglementations de l’opposition (#LoveWins). En collaboration avec des militants et des personnalités politiques, les entreprises de presse utiliseront également des hashtags gouvernementaux pour augmenter leur audience et également contextualiser la confirmation pour le dire brièvement, des articles de médias sociaux digestes. Conformément à Columbia Journalism Review, ce type de formation est vraiment «un bon moyen d’introduire un récit ou un point de vue dans le cycle d’actualités bien connu» et «un moyen de savoir exactement de quoi le grand public aimerait parler et en savoir plus. »Est-ce vraiment vrai? Pour découvrir, nous avons effectué un test en ligne géré sur 1 979 personnes. Nous avons analysé si les individus réagissaient différemment à l’existence ou au manque de hashtags politiques – en particulier les #MeToo et #BlackLivesMatter les plus généralement utilisés – dans les articles de presse publiés sur Facebook par les principaux magasins de presse, dont le New York Times et NPR. Nous avons montré au hasard à chaque individu une publication de nouvelles qui contenait ou excluait le hashtag politique. Ensuite, nous les avons interrogés pour discuter du contenu et répondre à quelques questions à ce sujet. Le rapport d’origine était identique au principal, à l’exception du #MeToo en gras puis de l’explication du texte. Pour la condition de contrôle (restante), nous avons exclu le hashtag dans le contenu textuel de l’article, ainsi que l’expression «#MeToo Prompts» à l’intérieur du titre. Eugenia Ha Rim Rho Nous avons constaté que les hashtags gouvernementaux ne sont certainement pas un bon moyen pour les médias de faire participer les lecteurs. En fait, si le scénario fournissait un hashtag, les gens ont identifié le sujet d’actualité comme devenant beaucoup moins important et étaient moins déterminés à en savoir un peu plus sur les problèmes associés. Certains téléspectateurs ont également tenu à regarder les comptes rendus d’actualités avec des hashtags comme un nombre croissant de partis pris politiques. Cela était particulièrement vrai pour les téléspectateurs plus conservateurs, qui étaient plus susceptibles de dire qu’un article de presse était incroyablement partisan s’il fournissait un hashtag. De même, les hashtags ont également affligé les visiteurs libéraux. Cependant, les téléspectateurs qui les ont découvert eux-mêmes comme «extrêmement libéraux» n’ont pas perçu le contenu des actualités des réseaux sociaux sur le sexe et les questions raciales comme partisan, indépendamment de la présence de hashtag. Ce qui m’a vraiment intéressé, c’est la réponse des gens du centre. Ceux qui se sont identifiés comme des postes d’information politiquement moyens reconnus sont devenus beaucoup plus partisans si les articles comprenaient des hashtags. En réalité, dans leurs commentaires, les répondants politiquement modérés qui ont remarqué des articles de presse avec des hashtags étaient beaucoup plus méfiants quant à la crédibilité des rapports et se concentraient davantage sur la politique nationale du hashtag.

Socrate

Socrate a vécu à travers les temps pendant le fantastique bouleversement gouvernemental dans la ville natale d’Athènes, une ville qui finira par faire de lui un bouc émissaire en raison de ses problèmes et nécessitera finalement son style de vie. Une grande partie de ce que l’on reconnaît exactement à propos de Socrate vient avec les performances de son ancien élève Platon, car Socrate lui-même était un philosophe itinérant qui n’éduquait que par le biais de discussions publiques ouvertes et d’oratoire et qui n’a jamais écrit de fonctions philosophiques propres. Contrairement aux philosophes grecs qui l’ont précédé, Socrate était beaucoup moins préoccupé par les réflexions métaphysiques abstraites que par les préoccupations sensibles des méthodes que nous devons rester et de ce que pourrait être l’excellent mode de vie des personnes. En conséquence, il est fréquemment salué depuis l’inventeur de cette partie de la vision connue sous le nom d’intégrité. C’est précisément son souci des questions éthiques qui le conduisit généralement à la tourmente en utilisant les seniors de la métropole, qui lui reprochaient de corrompre les têtes des fils de vos aisés avec des suggestions innovantes et peu orthodoxes. Socrate était certainement un franc-tireur, affirmant souvent pour la consternation de ses interlocuteurs que la seule chose sur laquelle il était absolument clair était leur propre ignorance. En fait, une grande partie de ses instructions consistait à interroger son public cible pour déterminer divers conseils et notions fréquents, comme «  beauté  », ou «  le bien  » ou «  piété  », juste pour démontrer au moyen d’un cas raisonné que toutes les significations proposées et les conceptions communes aboutissent au paradoxe ou à l’absurdité. Certains de ses contemporains considéraient cette procédure malhonnête et, par conséquent, Socrate avait compris qu’il le permettait. Cependant, la méthode de Socrate était censée donner des leçons salutaires à l’intérieur des périls d’une acceptation non critique de l’orthodoxie. Il dénonçait généralement et fabriquait des victimes dialectiques de personnes qui prétendaient obtenir une certaine compréhension de certains problèmes. C’est en fait principalement sous l’effet de Socrate que la philosophie a progressé vers la volonté moderne d’une représentation critique constante. La plus grande menace à la fois pour la société moderne et la personne, nous acquérons des connaissances de Socrate, est certainement la révocation de l’imaginaire critique. Adoré par les jeunes aristocratiques de la ville, Socrate a certainement produit plusieurs ennemis au cours de sa vie. Au cours de leur 70e année, ou à peu près, après qu’Athènes ait connu de nombreux ajustements de contrôle et une période de fortunes déclinantes, Socrate a été livré à une démonstration sur les frais de «corrompre la jeunesse» et de «ne pas croire dans les dieux de la métropole». Il pourrait sembler que les accusations ont été aidées principalement à influencer Socrate à renoncer à son discours public provocateur et à convaincre les habitants d’Athènes comment le nouveau contrôle a connu un contrôle restreint sur la législation et obtenir. Avec un plaidoyer de responsabilité, il aurait peut-être pu sortir du test et résidé la plupart de son style de vie comme un individu exclusif. Même ainsi, dans la conception des attributs, il se défendit vigoureusement, haranguant ses accusateurs et affirmant que le seigneur lui-même l’avait dirigé vers sa mission de formation et d’enseigne- ment de la philosophie. Lorsqu’on lui a demandé, devenant repéré avec des remords, quelle pénalité il pensait devoir obtenir, Socrate s’est moqué de la cour en indiquant une insignifiante grande de seulement 30 minae.

Optimiser son site web avec le SEO : une stratégie gagnante

Le monde du marketing et de la publicité numériques ne cesse de se développer, et l’un des aspects les plus vitaux de toute activité sur Internet est le référencement, ou SEO. Dans l’ère électronique d’aujourd’hui, il est important pour toute entreprise d’avoir une forte présence sur Internet, et le référencement joue un rôle crucial pour aider les entreprises à y parvenir.

L’optimisation des moteurs de recherche consiste à améliorer un site web et son contenu afin qu’il soit bien classé dans les pages de résultats des moteurs de recherche (SERP). Cela signifie que lorsque des personnes recherchent des mots clés spécifiques ou des mots associés à votre entreprise, votre site apparaîtra en haut de la liste des résultats de recherche. Cela peut être incroyablement important, car plus votre site est haut dans les résultats des pages de recherche, plus les gens sont susceptibles d’aller sur votre site.

Il y a de nombreux avantages à investir dans l’optimisation des moteurs de recherche. Tout d’abord, cela peut contribuer à accroître la visibilité de votre site Web, ce qui peut conduire à davantage de visiteurs et de clients potentiels. Elle peut également contribuer à établir votre marque en tant que puissance dans votre secteur d’activité, car les gens sont plus enclins à faire confiance aux sites Web qui se positionnent de manière optimale sur les moteurs de recherche comme Google. En outre, l’optimisation des moteurs de recherche peut contribuer à améliorer l’expérience des consommateurs sur votre site, agence SEO en simplifiant la navigation et la découverte des informations dont ils ont besoin.

L’un des éléments importants du référencement est l’étude de marché et la recherche de mots-clés. Il s’agit de déterminer les mots et les phrases que les personnes utilisent pour rechercher des produits ou des services liés à votre entreprise. En incluant ces mots et expressions dans le contenu de votre site Web, vous augmentez les chances que votre site soit bien classé pour ces conditions.

Un autre aspect important de l’optimisation des moteurs de recherche est un site Web bien conçu et agréable à utiliser. Cela signifie qu’il doit avoir un design clair et bref, un menu simple à utiliser et un contenu de haute qualité. En rendant votre site simple à utiliser et agréable à consulter, vous augmentez la probabilité que les internautes passent plus de temps sur votre site et s’intéressent à votre contenu.

Outre l’optimisation de la page d’accueil, l’optimisation de la page d’accueil est également importante. Il s’agit de créer un système de sites Web de qualité et faisant autorité qui renvoient à votre site. Ces liens entrants peuvent contribuer à améliorer le classement de votre site sur les moteurs de recherche comme Google, car ils signalent aux algorithmes de recherche que votre site est fiable et pertinent.

L’achat de services de référencement peut être un processus qui prend du temps, mais il en vaut la peine. En prenant le temps d’optimiser votre site ainsi que son contenu pour les moteurs de recherche, vous êtes en mesure d’améliorer votre visibilité sur Internet et d’attirer davantage de prospects potentiels vers votre entreprise. Donc, si vous souhaitez donner à votre entreprise les meilleures chances de réussite dans le monde numérique, assurez-vous de donner la priorité à l’optimisation des moteurs de recherche dans vos efforts de marketing.

Voici Beyrouth

Voici Beyrouth : notre capitale et dernière ville levantine, toujours en vie et actuellement assiégée. En parcourant ses rues et ses places, je m’émerveille devant nos fonds vides et libérés. A gauche, je vois deux monstruosités imposantes : une chapelle avec une mosquée, beaucoup plus de cages de clichés dans lesquelles on s’enferme, maintenant juste des mausolées pour les hommes qui les ont fabriqués ou refaits. A droite, je vois un soi-disant quartier historique qui apparaît comme la pop-fantasia de l’étudiant drogué, en première année de structure. Me reconvertissant, je me promène dans le reste du système cardiovasculaire vacant de Beyrouth : el-bourj, al-balad, centreville, Solidere, centre-ville – les noms des lieux révèlent notre cacophonie, dans ce qui est exactement un lieu d’unité ou du moins de convergence . Ici, des églises sans chrétiens. Là, des mosquées sans musulmans. En chemin, une synagogue sans aucun juif. Partout, des lieux de travail sans résidents, des devantures de magasins sans magasins ni commerçants et des marchés sans commerçants ni clients. Derrière les barricades, un parlement sans législateur. Au-dessus du mur, un palais sans chef ni ministre – les premiers dans l’avion sans doute certains vers ou depuis quelque part, les seconds blottis dans leurs fiefs bureaucratiques quelque part ailleurs. Et ici, là où nous avons commencé, aujourd’hui et toutes ces périodes d’avant : Place des Martyrs, un lieu public et une pièce sans public pour parler… pas de ménages, pas de couples, pas de poussettes, pas de lecteurs, pas de mendiants sans flics. Finalement, je vois un siège. Je regarde autour de moi à cause de son propriétaire ou de son locataire. Personne ne le revendique. Personne n’est ici maintenant pour l’affirmer. Je m’assieds, me recule et allège la graisse dans un endroit confortable. Maintenant heureux de devenir seul, je consomme égoïstement une ville souvent créée inaccessible par des stratégies somptueuses, des accidents, des événements et des remaniements prédestinés de notre précédent. Et je commence à faire ce que les gars cyniques qui ont insisté pour réclamer des chaises pendant de nombreuses années auraient dû faire il y a longtemps : croire. En 2019, les habitants ont emprunté les routes et les places à travers le Liban. Ceux-ci étaient frustrés. Ceux-ci ont été fournis. Ceux-ci étaient en colère. De plus, ils défiaient le changement, ravivant le désir d’un autre en cours de route. Indépendamment de leur hôte à l’origine, la disposition gouvernementale, l’affiliation communautaire ou l’origine sociale, des centaines de milliers d’individus connus comme quelque chose de différent du gouvernement fédéral, ou du moins de la politique ; un grand changement de leaders, ou du moins de comportement ; du système d’après-guerre, ou du moins de la pratique politique en son sein ; des structures de condition pour l’administration, la gouvernance et la justice, ou du moins de la performance globale des individus qui ont tant pris et fourni si peu en habitant et en animant ces structures. Pendant un instant, les individus libanais ont rejeté les fausses options qui leur étaient offertes par des élites cyniques et personnelles dans cette nouvelle période d’indépendance : occupation ou bataille, liberté ou sécurité, justice ou paix, pain ou fierté. Pendant un autre moment, ils sont arrivés ensemble pour avoir besoin de quelque chose de différent – et au-delà – de ce qu’ils ont été autorisés, ainsi qu’à eux-mêmes, à obtenir en tant que politique nationale. Ce n’était qu’une minute, comme plusieurs fois auparavant : magique et éphémère, et en partie magique parce qu’éphémère. Une minute ne fait pas une révolte, une tendance ou une république. Les Libanais ne pouvaient pas et n’allaient pas protester à perpétuité. Ils avaient besoin, et ont besoin, de vivre. Ils ont besoin de s’en sortir sur cette planète, ou ce Liban, parce qu’il existe – même si et comme ils cherchent à le changer. Ils doivent nourrir leurs ménages, qu’il s’agisse d’enfants qu’ils prévoyaient d’avoir à charge ou de mères et de pères causés par ces calamités, même lorsqu’ils cherchent à construire un régime où davantage de personnes peuvent se nourrir. Ils doivent trouver comment faire entrer leurs filles dans les universités, que les factions peuvent également contrôler ou avoir un impact, même si et comme elles envisagent comment améliorer la formation du grand public – ce véritable revêtement de sol, à partir duquel nous pouvons construire un ordre et une chance libéraux – que ce soit les montants.

Parfaire la mobilité dans les villes

Les métropoles du monde entier se transforment. Les Champs-Élysées de Paris, l’une des routes les plus encombrées de la planète, vont devenir une gigantesque cour arrière. Barcelone a fermé ses premiers quartiers aux voitures. Milan est en passe de devenir la première ville du monde à vivre en 15 minutes (continuez à lire pour savoir ce que cela signifie).

Il semble que la pandémie ait été, pour certains, l’occasion de réimaginer l’avenir de nos villes les plus anciennes. Pourquoi ? Eh bien, voyage à Bangkok il y a un petit exode hors de nos zones urbaines pendant la pandémie. C’était le moindre des arrêts dans la migration en ligne des zones rurales vers les zones urbaines qui se produit depuis des décennies. Ceux qui pouvaient se permettre de partir, sont partis. Pour ceux qui sont restés, les fermetures et les restrictions d’activité ont mis en lumière les principaux défauts de la plupart des villes : rues encombrées, air pollué et manque d’espaces verts et collectifs.

Aujourd’hui, il semblerait que la pause ait incité les urbanistes du monde entier à repenser la manière dont les villes du monde entier peuvent se développer pour prendre un cours différent. Autour de cette bifurcation, voici comment nos villes pourraient changer de cap de formation après la pandémie.

Une idée qui fait son chemin dans les capitales du monde entier est celle de la ville en 15 minutes. Il s’agit de transformer le centre dense de la ville et les banlieues qui l’entourent en une série de centres au sein desquels se trouvent des magasins et des lieux de divertissement. Aucun de ces pôles n’est à plus de 15 minutes à pied ou à vélo de l’endroit où vivent les gens, et de nombreuses personnes peuvent résider à proximité de plus d’un pôle.

L’idée de la zone de 15 minutes vient de l’universitaire colombien Carlos Moreno, professeur à l’Université de la Sorbonne à Paris, et elle a attiré l’attention de la maire de Paris, Anne Hidalgo. Dans les fonds français, les 60 km de pistes cyclables temporaires ouvertes dans la ville pendant la pandémie sont rendus permanents, et d’autres pistes sont prévues à l’avenir.

La création de villes à 15 moments repose toutefois sur une nouvelle structure, pour permettre aux gens de se rendre à pied ou à vélo en toute sécurité à leur destination, ce qui peut aussi créer des problèmes. « Un système compliqué et rapide dans lequel 70 millions d’individus comprennent, reconnaissent et acceptent simultanément les règles ne se produira pas », déclare le docteur Ian Walker, professeur d’écologie à l’université du Surrey. « Il est nettement préférable d’avoir un programme où il importe peu que vous soyez d’accord ou non avec les directives, la sécurité est toujours assurée. Un exemple intense est que les piétons ne peuvent pas aller sur l’autoroute, donc les conducteurs ne peuvent pas les heurter là. Vous pourriez commencer à faire des choses comme ça dans les villes si vous avez une structure de ségrégation cycliste, ou encore mieux, une structure de ségrégation de conduite qui maintient les propriétaires de voitures en sécurité, hors du chemin de tous les autres. »

Les futurs objectifs du plan de Paris font écho aux sentiments de Walker. Un nombre suffisant de pistes cyclables séparées est en cours d’aménagement pour pouvoir être utilisées pour la plupart des trajets à vélo d’un kilomètre environ, tandis que les principaux carrefours qui amènent les visiteurs au centre depuis le boulevard périphérique sont en train d’être sécurisés pour les cyclistes venant de la banlieue. Un grand nombre d’arches métalliques auxquelles on peut enchaîner les vélos pendant la journée devraient également apparaître sur les routes de la ville, ainsi que 50 000 places de stationnement supplémentaires pour les vélos dans les parkings et les aménagements extérieurs des logements.

Le concept de la ville en 15 minutes de Moreno a remporté le prix Obel 2021, un prix mondial destiné à récompenser les efforts architecturaux exceptionnels en faveur du développement humain. Le jury du prix a reconnu les avantages du concept de la ville en 15 minutes, en publiant une déclaration selon laquelle « la ville en 15 minutes est une stratégie intuitive et a la capacité d’apporter des changements perceptibles dans la vie des gens. Elle a donc confirmé sa facilité à déboucher sur des programmes et des politiques qui convertissent les villes. »

Alternatives au crédit

Une bonne cote de crédit est devenue un objectif budgétaire clé, même si cela nécessite de l’austérité lorsque le chômage est élevé. L’expérience récente a soulevé des doutes sur les notations souveraines fournies par les agences de notation. Cette colonne propose une nouvelle façon de mesurer les cotes de crédit en fonction de la capacité d’un pays à honorer ses engagements en utilisant la politique budgétaire. Cette mesure aurait identifié et signalé aux acteurs du marché les signes de la crise imminente de la dette souveraine européenne bien avant 2010, lorsque les agences de notation ont réagi pour la première fois à la crise.
La crise financière a placé les notations souveraines de l’UE et des États-Unis sur le devant de la scène comme jamais auparavant. Auparavant, on tenait pour acquis que tous les gouvernements de la zone euro pouvaient emprunter plus ou moins au même taux sans risque que l’Allemagne, et que l’Allemagne, le Royaume-Uni et les États-Unis seraient notés triple-A.
Après la crise, le Royaume-Uni et les États-Unis ont été dégradés d’un cran en 2012, tandis que plusieurs économies de la zone euro ont subi des dégradations majeures à la mi-2011 et au début de 2012, le risque de défaut de paiement ayant considérablement augmenté. Tout cela a considérablement affecté la conduite de la politique budgétaire, la confiance dans les institutions et la gouvernance de l’UE, et la crédibilité des agences de notation.
Jusqu’à présent, il était généralement admis que le rôle de la politique budgétaire en période de récession était de stabiliser la production et le chômage. Dans les pays en crise, la première préoccupation de la politique budgétaire a été l’augmentation des niveaux d’endettement, la possibilité de défaillance, la nécessité de maintenir l’accès aux marchés des capitaux et le coût de l’emprunt. Par conséquent, l’objectif principal de la politique budgétaire a été de maintenir une bonne cote de crédit ou d’améliorer la cote de crédit. Cela a conduit à l’austérité budgétaire même si le chômage est élevé et en hausse.
Les agences de notation et la Commission européenne
Les principales sources de notations de crédit sont les trois plus grandes agences de notation : Fitch Ratings, Moody’s Investors Service et Standard & Poor’s. La crise a renforcé leur notoriété publique. En même temps, cela les a amenés à être critiqués sur un certain nombre de points. À la suite de leurs dégradations des souverains de la zone euro, ils ont été accusés d’aggraver la crise de la dette de la zone euro et de contribuer à une hausse du coût d’emprunt au-dessus des niveaux soutenables pour plusieurs pays européens. Ils ont également été accusés du contraire, à savoir de ne pas avoir anticipé la crise de la dette et d’avoir émis bien trop tard des dégradations.
En novembre 2011, la Commission européenne a publié une proposition de règles plus strictes sur les agences de notation afin de les rendre plus transparentes et responsables, et d’accroître la concurrence dans le secteur de la notation de crédit. La proposition de la Commission a souligné le rôle des conflits d’intérêts, de l’ingérence politique et des inefficacités dans les méthodologies existantes des agences de notation. Il a également suggéré la création d’une agence de notation basée en Europe pour contrer l’influence des agences de notation basées aux États-Unis (Commission européenne 2011). Par la suite, la Commission a abandonné le projet de création d’une nouvelle agence de notation car jugé trop coûteux.
Une nouvelle mesure des notations souveraines
Tout cela suggère que ce qu’il faut, c’est une mesure des notations de crédit souverain qui puisse être calculée par les autorités budgétaires elles-mêmes, afin qu’elles puissent évaluer leur propre notation de crédit – et donc la probabilité de défaut, le coût probable des emprunts futurs, et la limite d’emprunt du gouvernement. Cette mesure devrait être simple et peu coûteuse à calculer, opportune et transparente pour le public. Dans Polito et Wickens (2013a), nous proposons une telle mesure et l’utilisons pour estimer les notations de crédit des pays de l’UE sur la période 1995-2012. Dans Polito et Wickens (2012), nous estimons les cotes de crédit des États-Unis.
La transparence est obtenue en fondant la mesure uniquement sur l’orientation budgétaire d’une économie. La mesure est une adaptation à la dette souveraine de la logique de la formule Black et Scholes de tarification d’une option américaine. Elle est basée sur la capacité d’un pays à faire face à ses engagements et non sur sa volonté de le faire. L’idée est d’estimer la probabilité que les prévisions du ratio dette/PIB d’un pays sur des horizons donnés dépassent sa limite dette/PIB, puis de convertir cette probabilité en une note de crédit de qualité alphabétique. Les prévisions sont obtenues à partir d’un modèle piloté par des variables budgétaires dans lequel les paramètres – y compris ceux qui régissent sa structure stochastique – sont autorisés à varier dans le temps pour refléter tout changement dans la structure de l’économie. Les limites dette-PIB sont estimées à partir d’un modèle macroéconomique structurel (un modèle DSGE) de l’économie. Les limites sont obtenues en déterminant l’économie budgétaire maximale que l’économie peut réaliser grâce à des modifications de la fiscalité et des dépenses publiques qui créent des distorsions. La correspondance entre la probabilité de défaut et une notation de crédit est effectuée à l’aide de tableaux publiés par les agences de notation. Après avoir mis en place la procédure, celle-ci peut ensuite être automatisée.
Nous calculons cette mesure basée sur un modèle des notations de crédit souverain pour 14 pays européens : Autriche, Belgique, Danemark, Finlande, France, Allemagne, Grèce, Irlande, Italie, Pays-Bas, Portugal, Espagne, Suède et Royaume-Uni. Les notes sont ensuite comparées aux notes de crédit historiques émises par les agences de notation et aux prix des swaps sur défaut de crédit souverain (CDS) déterminés par le marché.
Nous montrons qu’au cours des 20 dernières années, les notations des agences de notation pour ces pays ont été un peu plus élevées que pour la plupart des autres pays et, jusqu’en 2010, leur répartition transversale a été stable au sein de l’investment grade. À ce stade, la distribution est devenue plus dispersée, signalant le début de la crise de la dette souveraine de l’UE. Nous ne trouvons pas de relation claire entre l’évolution des notations émises par les agences de notation pendant la crise financière et la perception par le marché de la probabilité de défaut souverain mesurée par l’évolution des prix des CDS. En fait, un certain nombre de ces pays ont reçu la cote de crédit la plus élevée malgré les fluctuations des prix de leurs CDS. A l’opposé, d’autres pays ont été déclassés soit après une hausse importante de leurs prix de CDS, soit alors même que leurs prix de CDS baissaient.
Notations de crédit basées sur un modèle ou officielles
Nos notations de crédit basées sur des modèles sont illustrées à la figure 1. Les notations (historiques) des agences de notation sont représentées en bleu. Les autres lignes diffèrent en raison de l’utilisation de limites dette-PIB différentes. La ligne continue, notée IGBCL, utilise une limite qui ne suppose aucun changement de politique. La ligne FL diffère en maximisant les recettes fiscales. Ces deux lignes fournissent des bornes réalistes sur les cotes de crédit. La ligne MDL diffère de cela en faisant l’hypothèse extrême qu’il n’y a pas de dépenses publiques autres que les paiements d’intérêts; il désigne donc le plafond d’endettement maximum.
Les mesures fondées sur des modèles montrent un certain nombre de différences importantes par rapport aux cotes de crédit historiques. Premièrement, les notations basées sur des modèles pour l’Irlande, l’Espagne, le Portugal et le Royaume-Uni sont déclassées environ deux ans avant leur notation officielle. Deuxièmement, la Grèce est rétrogradée à la note la plus basse – qui coïncide avec la probabilité de défaut la plus élevée – depuis au moins le milieu des années 2000. Troisièmement, la cote de crédit souverain de l’Italie a été surestimée. Pour tous les autres pays, les notations de crédit basées sur des modèles sont similaires, mais pas identiques, aux notations de crédit fournies par les agences de notation ; des dégradations temporaires d’un ou deux crans sont indiquées pour de courtes périodes (un ou deux trimestres) en cas de détérioration temporaire de l’orientation budgétaire. En conséquence, la distribution transversale des notations de crédit n’est plus concentrée au sein de la catégorie investissement avant 2010, car elle commence à changer de manière significative à partir de 2008.
L’explication des résultats basés sur le modèle est qu’à partir de la mi-2007, il y a eu une détérioration significative des positions budgétaires des pays européens en raison de fortes augmentations des dépenses et des réductions des recettes fiscales. Cela a fait que les ratios dette/PIB et déficit/PIB ont atteint des niveaux sans précédent depuis la Seconde Guerre mondiale, et cela se reflète dans le calendrier de nos révisions à la baisse.
Une autre conclusion est que la possibilité pour la plupart des pays de l’UE14 d’augmenter leur capacité d’emprunt par une hausse de la fiscalité est limitée, car les recettes fiscales réelles sont similaires aux recettes fiscales maximisées. Cela suggère que ces pays sont plus susceptibles d’être en mesure de relever les plafonds d’endettement et de réaliser l’assainissement budgétaire en réduisant leurs dépenses qu’en augmentant les impôts.
Dans notre analyse correspondante des notes de crédit américaines dans Polito et Wickens (2012), nous constatons que la dégradation aurait dû avoir lieu en 2008, et non en 2012. En 2011, nous constatons que la note de crédit américaine était revenue à triple-A.
Nous concluons qu’une notation de crédit basée sur un modèle aurait identifié et signalé aux acteurs du marché les signes de la crise imminente de la dette souveraine européenne bien avant 2010 , lorsque les agences de notation ont réagi pour la première fois à la crise. En comparant les deux ensembles de notations de crédit, il convient de garder à l’esprit que les agences de notation peuvent très bien avoir pris en compte des facteurs supplémentaires à ceux qui découlent uniquement de l’orientation budgétaire d’un pays, et peuvent donc mesurer quelque chose de différent et de moins transparent.
Nous proposons une autre réflexion concernant les implications de ces résultats pour la soutenabilité de l’euro. Dans Polito et Wickens (2013b), nous soutenons que la politique monétaire commune a permis aux pays à forte inflation – également les pays en crise – d’être en mesure d’emprunter au même taux d’intérêt nominal, mais à des taux d’intérêt réels négatifs. Cela les a conduits à sur-emprunter et a provoqué la crise de la dette dans ces pays. Une solution est que les pays pour lesquels la politique monétaire commune est inappropriée corrigent cela par leur politique budgétaire. Cela nécessite non pas une limite de déficit commune mais une politique budgétaire encore plus stricte dans les pays à forte inflation.
Il existe cependant une solution alternative. Si le risque de crédit était évalué avec précision, la probabilité de défaut se refléterait dans les taux d’emprunt. De cette manière, le marché pourrait automatiquement corriger les limites inhérentes et inévitables de la politique monétaire de la zone euro. Les modifications des traités, une union bancaire et des restrictions communes sur les déficits budgétaires pourraient alors être inutiles.

Moldavie: une conférence pour la croissance

Un énorme pourcentage du territoire moldave actuel est devenu une région de votre empire européen en 1812 et après ce single avec la Roumanie en 1918 au lendemain de la guerre communautaire I. Ce territoire a ensuite été inclus dans l’Union soviétique à l’approche de la Seconde Guerre mondiale. Bien que la Moldavie continue d’être impartiale à travers l’Union soviétique depuis 1991, les causes européennes sont restées sur le territoire moldave à l’est dans le ruisseau Nistru, aidant l’endroit séparatiste de la Transnistrie, dont la population est composée à peu près également d’Ukrainiens culturels, de Russes et de Moldaves. Plusieurs années de principe du Parti communiste en Moldavie de 2001 à 2009 se sont finalement terminées par des protestations agressives associées aux élections politiques et une reprise des élections parlementaires en 2009. Par conséquent, plusieurs coalitions de jugements européens ont contrôlé la Moldavie. En raison de la nouvelle élection législative du pays en février 2019, les sièges parlementaires sont répartis entre la célébration socialiste encore inclinée à gauche (35 présidents), le parti démocrate au pouvoir (30 présidents), ainsi que le bloc ACUM d’opposition approprié au cœur (26 sièges). ). Juste après les élections, les divergences idéologiques sur la liste des 3 fonctions politiques principales ont conduit à une approche de développement du gouvernement fédéral prolongée. Les célébrations ont lieu jusqu’en juin 2019 pour former une autorité ou des élections anticipées seront probablement déclenchées. Indépendamment des dernières améliorations, la Moldavie reste l’un des pays les plus pauvres des pays européens. Avec un climat tempéré et des terres agricoles fertiles, l’économie de la Moldavie dépend fortement de son industrie agricole, avec des fruits, des légumes verts, des vins, du blé entier et des cigarettes. La Moldavie dépend également des envois de fonds sur douze mois d’environ 1,2 milliard de dollars – pratiquement 15% du PIB – de votre environ un million de Moldaves travaillant en Europe, en Israël, en Fédération de Russie et ailleurs. Avec un certain nombre de ressources de vitalité naturelles, la Moldavie importe la majorité de ses approvisionnements en électricité de la Fédération de Russie et d’Ukraine. La dépendance de la Moldavie à l’égard de l’énergie russe est soulignée par une dette personnelle de plus de 6 milliards de dollars envers le fournisseur de gaz naturel européen Gazprom, principalement causée par l’ingestion de gaz naturel non remboursée dans la région séparatiste de la Transnistrie. La Moldavie et la Roumanie ont inauguré le projet d’interconnexion gazière Ungheni-Iasi en août 2014. Le gazoduc de 43 kilomètres impliquant la Moldavie et la Roumanie permet d’importer et d’exporter du gaz naturel. Un certain nombre de ralentissements technologiques et réglementaires ont empêché le gaz de pénétrer en Moldavie jusqu’en mars 2015. Les exportations roumaines de carburant vers la Moldavie sont largement symboliques. En 2018, la Moldavie a confié à Transgaz roumain un projet sensible visant à créer un pipeline reliant Ungheni à Chisinau, fournissant le carburant aux centres de population humains moldaves. La Moldavie cherche également à se connecter en utilisant le réseau électrique européen d’ici 2022.

Boston: la plus européenne des villes

Il n’y a pas longtemps, j’ai voyagé à Boston, villes les plus peuplées du monde et c’était des vacances formidables. Boston est l’une de ces régions métropolitaines américaines où l’on se sent comme en Europe et en même temps en Amérique. Cela peut être une excellente région. Des vacances à Boston sont l’occasion idéale pour se détendre et se reposer. Que vous aimiez l’idée de vous asseoir au bord de l’eau ou de vous promener sur le rivage à la recherche de coquillages étincelants, un voyage à Boston est difficile à refuser. Si vous souhaitez plutôt être proche du centre-ville, trouvez un hôtel près de Revere Beach. Cette portion du littoral se trouve à seulement 9 km (6 miles). Nous proposons également des offres de vacances à Boston sur Wayland City Seaside et Plum Cove, deux autres options remarquables à proximité.

Le centre-ville de Boston est un excellent point de départ pour vos prochaines vacances à Boston. Obtenez une place dans un grand hôtel et passez votre temps à flâner dans les attractions populaires comme le marché de Faneuil Hall et le New Britain Aquarium. Cambridge est encore une autre excellente option. Installez-vous ici et Harvard Square et le musée sémitique seront à portée de main de l’établissement. Il n’y a pas de bon ou de mauvais moment pour visiter Boston. Mais si vous voulez faire une bonne affaire sur vos propres vacances, pensez aux 30 jours de . Les tarifs des centres de villégiature et des billets d’avion sont généralement les plus chers en . Boston peut être un lieu très agité, alors si vous voulez éviter la foule, voyagez en .

Un forfait de voyage peut être plus facile pour le portefeuille que de réserver séparément tout ce dont vous avez besoin pour votre voyage. Par exemple, regroupez vos vols, hôtels et véhicules de location et conservez un forfait. Quels que soient vos projets de voyage, il y a certainement un forfait abordable.

Si un peu de tourisme est ce que vous recherchez pendant vos vacances à Boston, vous découvrirez de nombreux endroits à découvrir dans la vieille ville de Beantown, où vous pouvez acquérir un goût de douce liberté avec une visite guidée établie ou personnelle des points de repère qui bordent le Freedom Trail. Commencez votre promenade au monument de Bunker Hill et soufflez sur votre chemin via les rues pavées et le long de la Charles River en passant par la Old North Chapel, la Paul Revere’s House, le Faneuil Hallway, et montez sur les sites des moments cruciaux de l’histoire des États-Unis. Terminez votre promenade au Boston Typical pour une promenade relaxante dans le parc ou peut-être un joyeux concert en plein air. C’est exactement ce que sont les vacances à Boston.

Attiré par l’océan ? Faites du saut d’île tropical autour des Boston Harbor Islands pour des vues époustouflantes de l’horizon de la ville et de l’eau potable. Et si vous souhaitez plonger beaucoup plus profondément, investissez quelques heures au New England Aquarium pour découvrir ce qui se cache sous le sommet de l’Atlantique et terminez la journée par une croisière au coucher du soleil autour du port historique sur la traditionnelle haute livraison. Comme les colons avant vous, vous aurez peut-être le besoin de mettre du thé dans les eaux fraîches de l’Atlantique. Nous vous recommandons plutôt de boire la fragile infusion à proximité, au Langham Boston, conservée dans l’ancienne banque de dépôt du gouvernement fédéral.

Boston se met dans l’esprit des fêtes toute l’année avec des célébrations importantes dans toute la ville. Le St. Patrick’s Time jalonne les routes du sud de Boston pour la parade de la Saint. Patrick’s Day parade. Si vous visitez la ville pendant le week-end de l’Independence Time, célébrez avec des événements spéciaux et des concerts dans le cadre du Boston Harborfest, comme le feu d’artifice des Boston Pops à couper le souffle. Vous pourrez voir la partie créative de Boston tout au long de la ArtWeek Boston, organisée deux fois par an, une célébration interactive des disciplines avec plus de 125 spectacles et événements d’œuvres d’art visibles. Pendant ces festivités, les hôtels peuvent se remplir rapidement, alors faites vos réservations dès maintenant pour réserver une visite bon marché à Boston.

Les hôtels recommandés ici sont l’Oakwood In The Devonshire, le Hyatt Centric Faneuil Hallway Boston ainsi que l’Ames Boston Hotel, Curio Selection by Hilton. Cette région est célèbre pour ses attractions touristiques exceptionnelles, alors gardez de la place dans votre emploi du temps pour en profiter ! Le marché Faneuil Hall et l’Opéra de Boston sont d’excellents endroits pour commencer.

Pressions et émotions par la voltige en avion

Lors de mon entretien avec Patrick Davidson dans le cadre de Zoom, on ne croirait pas qu’il passe la majeure partie de son temps à l’envers dans un avion, à des vitesses et à des manœuvres qui ne peuvent être comparées qu’à la façon dont les ovnis se déplacent dans les films de science-fiction. Je ne sais pas à quoi ressemble habituellement ce type d’individu, mais Patrick a tout simplement l’air d’un homme terre-à-terre de Dock Elizabeth qui apprécie un bon braai le week-end. Ce qui fait de Patrick le candidat idéal pour devenir l’audacieux parachutiste qu’il est aujourd’hui, se trouve néanmoins sous la surface – dans ses gènes. Son père était un champion de voltige SA Limitless – Limitless étant le plus haut degré d’aptitude en voltige, un cran au-dessus de Advanced, et un cran en dessous de totalement fou. Avant même que la plupart des enfants de son âge n’aient enfourché leur premier vélo, Patrick était attaché à la chaise de co-pilote d’un des avions de son père, volant avec lui dès l’âge de 5 ans. Il a également obtenu son permis de pilote avant son permis de conduire, sans perdre un instant, le jour où il a eu 17 ans, « le plus jeune âge auquel vous êtes légalement autorisé à le faire ». La voltige aérienne a vu le jour pendant la Première Guerre mondiale, lorsque les pilotes d’avions de chasse ont réalisé que la capacité d’effectuer des manœuvres rapides et inattendues dans leur avion leur permettait d’éviter les avions ennemis. Les pilotes d’avion ont commencé à se constituer un arsenal de mouvements de voltige et, à la fin de 1916, un enseignement systématique des méthodes de voltige a fait son apparition. Poursuivant le combat, ces pilotes capitalisent sur les capacités obtenues en participant à des spectacles atmosphériques et à des exhibitions de voltige. En 1934, la première Coupe du monde de voltige aérienne se tient à Paris, avec 6 pays participants en Europe. En 1960, la voltige aérienne de compétition s’est développée au niveau mondial grâce à l’activité de la Commission mondiale de voltige aérienne et le premier championnat réel de voltige aérienne s’est tenu en République tchèque la même année. Il est clair que Patrick et son génial père prennent leur vol à la légère – et s’ils ne pilotent pas d’avions, ils en vendent et en achètent. Ils ont généralement entre 10 et 20 avions dans leur hangar à Seaview, en Pennsylvanie. Certains sont à vendre, d’autres non – par exemple, le Harvard où Patrick a passé sa licence et le Gipsy Tiger Moth de 1929 qui appartenait à son grand-père. Même si Patrick consacre la majeure partie de son temps à son entreprise de démolition et de déplacement de planètes, il essaie de faire un ou deux vols de ligne le week-end et le matin avant le travail. Le fait d’avoir un avion s’avère parfois utile : « Je fais voyager ma famille, je vole pour votre entreprise. Je vais sur des sites web dans tout le pays et souvent je considère les clients avec moi – comme un ‘avantage supplémentaire’.’ Avant Red-colored Bull, je n’ai jamais participé à des événements aériens, mais à d’autres occasions et concours [de voltige] », explique Patrick, mais il voulait vraiment s’essayer à la course aérienne. Une connaissance de l’époque, Greg Ritz, l’a donc mis en contact avec le superviseur local de Red Bull Sportsman, Josh Enslin. Il s’est avéré que, non seulement Red Bull cherchait à combler le vide laissé par le déménagement de Glen Dell, ancien pilote de SA Atmosphere Competition, mais Josh avait déjà organisé une conférence avec les représentants mondiaux de Red Bull. Il leur a présenté un CV vidéo de Patrick sur YouTube – « Et huit à dix jours plus tard, j’ai reçu une invitation pour un camp d’entraînement au Red Bull Atmosphere Competition », Tematis déclare Patrick. En plus de s’assurer une participation à la course Atmosphère ce jour-là, il a également décroché un parrainage complet pour la voltige aérienne. Depuis lors, Greg est devenu mon manager et un bon ami », assure-t-il. Aujourd’hui, Patrick a deux mois d’Atmosphere Race à son actif, en 2018 et 2019, ce qui représente un total de 11 courses dans des pays du monde entier, dont la Russie, la Hongrie, le Japon, la France, l’Autriche et les États-Unis. Pour se préparer aux compétitions et aux courses, Patrick aime se maintenir en forme grâce au VTT, mais, dit-il, « à l’approche d’un événement, j’arrête de m’entraîner », pour éviter les blessures. Il remplace donc son VTT par un vélo d’appartement. Et, sans surprise, « le temps passé en selle. Il n’y a pas de remplacement pour ça. Cependant, l’entraînement pour les épreuves aériennes est différent de celui des compétitions de voltige. Bien que la course atmosphérique exige beaucoup moins de planification que la voltige aérienne de compétition, il est plus difficile d’enseigner pour cette dernière, simplement parce que « l’avion que je possède est complètement différent de celui que je pilote pour votre course », déclare Patrick.

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