Jacqueline Sauvage, Jacques Rivette, arrondissements parisiens : le point sur l’actu de ce vendredi

Quand Mark Zuckerberg l’a annoncé en septembre dernier, beaucoup ont cru que Facebook allait finalement ajouter un bouton «J’aime pas». Mais il évoquait en fait l’arrivée de différentes réactions possibles aux côtés du célèbre «like» qui a fait son apparition il y a sept ans sur le réseau social et, plus tard, un peu partout sur le web. Le pouce vers le haut bleu en est devenu depuis un des signes les plus emblématiques du réseau. Ces nouvelles réactions, au nombre de six, sont en phase de test depuis quelques mois dans plusieurs pays dont l’Espagne, les Philippines ou encore la Colombie. Un test semble-t-il concluant puisque les réactions vont débarquer partout dans le monde dans «quelques semaines», a expliqué Chris Cox, directeur produit de Facebook, à Bloomberg Business WeekBusiness Week.

Bientôt, donc, sur l’application mobile de Facebook, en laissant son doigt appuyé sur le «J’aime», qui restera la réaction par défaut, on pourra choisir entre les emoticons animés «angry» (colère), «sad» (triste), «wow», «haha», «yay», et «love». Si du côté du réseau social, on parle volontier de «l’expression d’une empathie» pour renforcer les liens, l’enjeu est aussi, évidemment, économique. Ces six réactions permettront, si elles sont adoptées massivement, de cibler encore un peu plus leur 1,55 milliard d’utilisateurset déterminer encore plus finement les affinités de chacun.